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Viols-le-Fort

20/7/2018

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Viols-le-Fort ( in Occitano Viòus lo Fòrt) è un comune nella provincia dell'Hérault nella regione dell'Occitania. Borgo medievale costruito per proteggere gli abitanti della Guerra dei Cent'Anni, svolge lungo la strada il suo spesso e scuro bastione. È in questo ambiente arido e minerale che è nato, in un contesto difficile, il borgo medievale come lo conosciamo oggi : quello della Guerra dei Cent'anni. Nel 1429, di fronte al terrore provocato dai Routiers, questi briganti nomadi senza lavoro e senza feudo imperversavano sulle strade della Francia e saccheggiano città e villaggi. Forti bastioni furono eretti nel cuore del villaggio di Viols-le-Fort . Prima di questa data, si suppone che esistesse un centro del villaggio, di dimensioni sconosciute, e fattorie ( mas ) sparse. I bastioni circondano ancora il centro del villaggio, anche se ci sono stati molti cambiamenti nel corso dei secoli. I bastioni a forma di diamante era costituito da alte pareti, originariamente merlate, coronato da una passerella, e che non aveva né porte né finestre (questi sono stati aperti solo nel 19 ° secolo). C'era anche un forte, che conserva ancora alcuni posti di guardia. Nel 17 ° secolo, il forte prese il nome di "casa claustrale" per l'uso dei sacerdoti.

Una passeggiata all'interno del recinto, nelle strade che hanno conservato un fascino autentico, permette di apprezzare appieno questo bellissimo villaggio. Le case hanno mantenuto una base medievale nonostante le numerose rimpasti : bifore, scale esterne in pietra, architravi e cornici intagliate ecc. La Porta di Fabregol è un bell'esempio di fortificazione, originariamente l'ingresso principale del borgo medievale. Nel 17 ° secolo, un sobborgo si sviluppò fuori dal recinto.
La chiesa fu eretta nell'undicesimo o dodicesimo secolo in stile romanico. Sul timpano (XIX secolo), possiamo vedere un tetramorfo con Cristo in maestà. Dal 12 ° secolo, la chiesa di Saint-Etienne si trova nel cuore della parrocchia di San Stephani Violo : altre tre chiese e una piccola cappella sono poi annesse alla chiesa. Durante la Rivoluzione, il territorio fu diviso in diversi comuni (Argelliers, Viols-le-Fort e Viols-en-Laval) e solo la chiesa di Saint-Etienne rimase attaccata alla Chiesa. Viols-le-Fort è molto più di un villaggio medievale: la sua storia è molto più antica. Situato su un importante asse di comunicazione est-ovest, il territorio è stato occupato fin dalla preistoria. Molte resti della preistoria coprono la regione: dolmen neolitici, tombe e villaggi dell'età del rame. Ad esempio il villaggio preistorico di Cambous, a Viols-en-Laval.
Lavogne (vedi la fotografia): questo termine designa una depressione sulle terre dei causses (nel senso di terre "calcari") che rende possibile dare da bere agli animali della fattoria e, in un tempo più remoto, agli uomini. Infatti, essendo l'acqua molto rara sulla superficie dei plateaux calcarei, sono stati sistemati in cavità naturali ( les sotchs ) : sigillandoli con un tappeto di argilla per catturare e trattenere l'acque di dilavamento e pavimentati con calcare in modo che lo strato di argilla non venga trafitto dagli artigli delle pecore. Nel 1 ° secolo ac Marco Terenzio Varro (scrittore, studioso e magistrato romano nato a Reate-Rieti (116 ac / 27 ac ) già sosteneva questo metodo di costruzione nelle regioni senza acqua.




Viols-le-Fort (en occitan Viòus lo Fòrt) est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie. Village médiéval construit pour abriter les habitants des guerres de Cent ans, il déroule le long de la route son épais et sombre rempart. C’est dans ce décor aride et minéral ,que naquit,dans un contexte difficile, le village médiéval tel que nous le connaissons aujourd’hui : celui de la guerre de Cent ans. En 1429, face à la peur que provoquent les Routiers, ces brigands nomades sans travail et sans fief sévissant sur les routes de France et pillant les villes et les villages, de solides remparts furent érigés autour du cœur du village de Viols-le-Fort. Avant cette date, on suppose qu’il y avait un centre villageois, dont on ne connait pas la grandeur, et des mas épars. Les remparts enserrent encore aujourd’hui le centre du village, bien qu’il y ait eu de nombreuses modifications au cours des siècles. L’enceinte, en forme de losange, se composait de hauts murs, qui étaient à l’origine crénelés, couronnés d’un chemin de ronde et qui ne disposaient ni de portes ni de fenêtres (celles-ci ne furent ouvertes qu'au 19e siècle). Il y avait aussi un fort , qui conserve encore quelques échauguettes. Au 17e siècle, le fort prend le nom de “maison claustrale” destiné à l’usage des prêtres.
Une balade à l’intérieur de l’enceinte, dans les ruelles qui ont su conserver un charme authentique, permet d’apprécier pleinement ce joli village. Les maisons ont conservé une base médiévale malgré les nombreux remaniements : des fenêtres à meneaux, des escaliers extérieurs en pierre, des linteaux et encadrements de portes sculptés etc… La porte de Fabregol constitue un bel exemple de fortification, il s’agissait à l’origine de l’entrée principale du village médiéval. Au 17e siècle, un faubourg se développa à l’extérieur de l’enceinte.

L’église fut érigée au 11e ou au 12e siècle dans un style roman. Sur le tympan (19e siècle), on peut voir un tétramorphe  représentant le Christ en majesté. À partir du 12e siècle, l’église de Saint-Etienne se retrouve au cœur de la paroisse de San Stephani de Violo : trois autres églises et une petite chapelle sont alors annexées à l’église. Puis, à la Révolution, le territoire fut réparti sur plusieurs communes (Argelliers, Viols-le-Fort et Viols-en-Laval) et seule l’église de Saint-Etienne resta attachée à l’Église.

Viols-le-Fort est bien plus qu’un village médiéval : son histoire est beaucoup plus ancienne. Situé sur un axe de communication Est-Ouest important, le territoire connait une occupation humaine depuis la préhistoire. De nombreux vestiges de la préhistoire couvrent la région : des dolmens du néolithique, des tombes et des villages de l’âge du Cuivre. Par exemple le village préhistorique de Cambous, à Viols-en-Laval.
Lavogne ( voir la photographie ) : ce terme désigne une dépression sur les terres de causses (au sens de terres « calcaires ») qui permet de boire aux animaux d'élevage et, à une époque plus reculée, aux hommes. En effet, l’eau étant très rare à la surface des plateaux calcaires elles ont été aménagées dans des creux naturels (les sotchs) en les étanchant par un tapis argileux pour capter et retenir les eaux de ruissellement et en les pavant de pierres calcaires afin que la couche d'argile ne soit pas percée par les onglons des brebis. Au Ier siècle av. J.-C. Marcus Terentius Varro ( écrivain, savant et magistrat romain né à Reate-Rieti (116 av. J.-C./ 27 av. J.-C.) préconisait déjà ce mode de construction dans les régions dépourvues d'eau.


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CEYRAS

18/7/2018

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Ceyras (en occitan Seiraç) est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie.
La découverte de vestiges de « cabanes » du Pioch Ceyradé au XIXème siècle atteste une présence humaine sur ce site au néolithique. De même,la mise à jour de divers objets datés des premiers siècles de notre ère et l’étude des thermes anciens sur le territoire a permis de situer plusieurs « villas » ou établissements agricoles gallo-romains. Une seigneurie est créée à l’époque médiévale puis elle est donnée en tutelle à la baronnie de Clermont au XIIIème siècle. A la suite d’une union au XIVème siècle, elle entre dans les possessions de la famille de Lauzières et y reste jusqu’à la Révolution.
Ayant acquis une entière autonomie en 1790, la commune de Ceyras entreprend avec les élus de Clermont l’Hérault, la construction d’un pont sur la Lergue. La création de deux lignes de chemin de fer en 1861 et 1866 apporte à la commune une meilleure desserte en favorisant un échange commercial et agricole plus important. Après plusieurs siècles de polyculture et un départ d’activité industrielle, les principales sources de production restent la viticulture et l’oléiculture.
En dehors du village, on peut découvrir deux chapelles : la chapelle Notre Dame d’Hortus (des jardins) en plein cœur des vignes, autrefois la chapelle des jardiniers, et la chapelle de Leynerac en bordure de la Lergue.

Ceyras ( in occitano Seiraç) è un comune francese situato nella provincia di Herault, regione di Occitania.
La scoperta dei resti di "capanne" di Pioch Ceyradé nel diciannovesimo secolo attesta una presenza umana in questo sito nel Neolitico.Allo stesso modo, l'aggiornamento di vari oggetti risalenti ai primi secoli della nostra era e lo studio delle antiche terme sul territorio ha permesso di individuare diverse "ville" o stabilimenti agricoli gallo-romani. Una signoria è stata creata nel periodo medievale, e poi data in tutela alla baronia di Clermont nel XIII secolo. Dopo un'unione nel XIV secolo, entra nei possedimenti della famiglia Lauzières e vi rimane fino alla rivoluzione.
Avendo acquisito piena autonomia nel 1790, il comune di Ceyras si impegna con i funzionari eletti di Clermont l'Hérault, a la costruzione di un ponte sulla Lergue. Poi la creazione di due linee ferroviarie nel 1861 e nel 1866 porta al comune un servizio migliore favorendo un più importante scambio commerciale e agricolo. Dopo diversi secoli di policoltura e la fine dall'attività industriale, le principali fonti di produzione rimangono la viticoltura e l'olivicoltura.

Fuori dal villaggio, si possono scoprire due cappelle : la cappella Notre Dame d'Hortus (giardini) nel cuore dei vigneti, precedentemente la cappella dei giardinieri, e la cappella di Leynerac ai margini della Lergue.

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Saint-Jean-de-la-Blaquière

17/7/2018

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Saint-Jean-de-la-Blaquière (occitano Sant Joan de la Blaquièira), è un comune francese situato nel dipartimento della provincia dell'Hérault in Occitania. Il suo nome deriva dalla sua chiesa dedicata al IX secolo a San Giovanni Battista e Blaquière che significa luogo piantato con querce bianche. Il blaca in occitano significa quercia bianca. Un dolmen e mobili in metallo, scoperti in una tomba da un contadino, suggeriscono che il sito della città fu abitato fin dal Neolitico. Nel 983, un monaco dell'abbazia di Gellone a Saint-Guilhem-le-Désert donò al monastero due '' parcelles agricoles '' che gli appartenevano, situate nel territorio del comune.La prima menzione ufficiale è nel testamento di San Fulciano. Indica una chiesa dedicata a San Giovanni Battista, la sua villa (dominio romano) di nome Pleuis e le sei '' parcelles agricoles '' che fanno parte della tenuta. Nel XII e XIII secolo, i documenti reali menzionano la villa "Saint Jean de Pleus" e nel dicembre del 1385, durante la Guerra dei Cent'anni, le truppe reali rimasero per una settimana nel villaggio. Durante il periodo rivoluzionario, il villaggio perse la prima parte del suo nome in favore di "La Blaquière", per seguire il decreto della Convenzione del 25 ° anno della Vendemiaire che invita i comuni a fare nomi che richiamino memorie di regalità, feudalesimo o superstizioni, per sostituirli con altri nomi. Ha mantenuto questo nome fino all'anno X. Anche durante la Rivoluzione francese, i cittadini della città si incontrano nella società rivoluzionaria, chiamata "società popolare" nel 1793.

I paesaggi sono famosi per la diversità dei loro colori :
  • a sud : lo scisto rosso - il ruffe- (visibile soprattutto nel canyon del Saut du Poisson)
  • a nord : gli scisti ocra, ai piedi delle falesie calcaree del Larzac. Paesaggi unici, dove si alternano foreste di quercia bianca (che le hanno dato il nome) boschi di leccio, ulivi secolari e vigneti terrazzati classificati in AOP Terrasses du Larzac .
Oggi la popolazione di Saint Jean de la Blaquière è di 729 abitanti.
Saint-Jean-de-la-Blaquière (en occitan Sant Joan de la Blaquièira), est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie. Son nom vient de son église consacrée au IXe siècle à saint Jean-Baptiste et Blaquière qui signifie lieu planté de chênes blancs. La blaca en occitan signifie chêne blanc. Un dolmen et des mobiliers métalliques, découverts dans une sépulture par un agriculteur, permettent de penser que le site de la commune a été habité dès le Néolithique. En 983, un moine de l'abbaye de Gellone à Saint-Guilhem-le-Désert fait don au monastère de deux parcelles agricoles lui appartenant, localisées sur le territoire de la commune. La première mention officielle figure dans le testament de saint-Fulcran. Il signale une église consacrée à saint Jean-Baptiste, sa villa (domaine romain) nommée Pleuis et les six parcelles agricoles qui font partie du domaine. Au XIIe siècle et XIIIe siècle, des documents royaux font mention de la villa « Saint Jean de Pleus ». En décembre 1385, lors de la guerre de Cent Ans, les troupes royales séjournent durant une semaine dans le village.

Durant la période révolutionnaire, le village perd la première partie de son nom au profit de « La Blaquière », pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations. Il garde ce nom jusqu'en l'an X. Toujours lors de la Révolution française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée « société populaire » en 1793.
Les paysages sont réputés pour la diversité de leurs couleurs :
- au sud : les schistes rouges - la ruffe-, (visible notamment au canyon du Saut du Poisson)
- au nord, les schistes ocres, au pied des falaises calcaires du Larzac..Des paysages uniques, où alternent les forêts de chênes blanc (qui lui ont donné son nom) et forêts de chênes vets, oliviers centenaires et vignes en terrasses classées en AOP Terrasses du Larzac...
Aujourd'hui,la population de Saint Jean de la Blaquière est de 729 habitants.

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La cardabelle ... le baromètre du berger !

17/7/2018

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Photo
La cardabelle, le baromètre du berger ! Cette plante pousse sur tout le pourtour méditerranéen. Elle est sauvage et les paysans la cueillaient autrefois parce que son cœur était comestible et avait un peu la saveur et la consistance de l’artichaut. La plante fait d’ailleurs partie de la famille de l’artichaut. Elle donne une grosse fleur qu’il n’est pas rare de découvrir, une fois sèche, à la porte des maisons des vieux villages. Les éleveurs du Larzac, par exemple, l’appelait « le soleil des herbes ». Elle a en effet un gros cœur jaune qui ressemble au soleil. Pour quelle raison fixait-on cette fleur sur les portes d’entrée ? :

  -  elle est un porte-bonheur et donc fixer la fleur à l’entrée d’une grange ou d’une étable permettait en quelque sorte de protéger le bétail.

  -  par ailleurs, la plante avait aussi aux yeux des habitants, comme un pouvoir magique parce qu’elle permettait de prévoir le temps.Elle s’ouvre en effet, en son centre, comme le tournesol, pour capter la lumière solaire. Mais le cœur se resserre lorsque l’humidité tombe et que la pluie s’annonce.C’était donc pour les observateurs avertis qu’étaient les bergers, un baromètre qui permettait de prévoir la météorologie.Ce chardon porte le nom familier de cardabelle et les bergers se servaient de ses feuilles épineuses pour démêler la laine de leurs bêtes et son cœur au goût d'artichaut se mangeait. La plante étant en voie de disparition, il est désormais interdit de la cueillir.


Photo
La cardabelle, il barometro del pastore ! Questa pianta cresce tutto intorno al Mediterraneo. È selvatica e i contadini la sceglievano perché il suo cuore era commestibile e aveva un po'il sapore e la consistenza del carciofo. La pianta fa parte della famiglia dei carciofi. Dà un grande fiore che non è raro scoprire, una volta asciutto, sulla porta delle case dei vecchi villaggi. Gli allevatori del Larzac, per esempio, la chiamavano " il sole delle erbe ". La cardabelle ha un grande cuore giallo che sembra il sole.

Ma perché questo fiore era appeso alle porte d'ingresso ? :
  -  è un portafortuna e quindi fissare il fiore all'ingresso di un granaio o fienile ha permesso in qualche modo di proteggere il bestiame.

  -  inoltre, la pianta aveva anche per gli abitanti, un potere magico perché permetteva di predire il tempo. Si apre davvero, nel suo centro, come il girasole, per catturare la luce del sole. Ma il cuore si stringe quando l'umidità cade e la pioggia sta arrivando.Così era per gli osservatori esperti che erano i pastori, un barometro che poteva predire la meteorologia. Questo cardo ha il nome familiare di cardabelle e i pastori hanno usato le sue foglie spinose per districare la lana dei loro animali e il suo cuore dal sapore di carciofo era mangiato. Poiché la pianta era in pericolo di scomparire, adesso è vietato raccoglierla.



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Saint Jean de Fos

17/7/2018

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Pochi giorni fa a Saint Jean de Fos, in occitano Sant Joan de Fòrcs, un villaggio situato all'uscita delle Gole de l'Hérault, dove il massiccio del Séranne (massiccio calcareo) chiamato anche Causses du Larzac, si unisce alla pianura della valle del Herault. L'economia principale del paese è la viticoltura, l'olivicoltura, la produzione di ceramiche (11 laboratori e gallerie di ceramiche). L'artigianato è ben consolidato. Ogni anno, il Marché des Potiers riunisce 50 espositori per il più grande raduno intorno alle ceramiche del dipartimento. Troviamo le prime menzioni del luogo nell'804 sotto il nome di "Litenis". Il villaggio fu poi sviluppato intorno alla chiesa di Saint-Jean tra il 1031 e il 1060 in seguito alla costruzione del '' Ponte del Diavolo '' che costituisce un'importante stazione di collegamento tra Gellone (abbazia di Saint Guilhem le Désert) e Aniane. La piazza fu successivamente fortificata nel Medioevo e Saint-Jean-de-Fos divenne famosa grazie ai suoi vasai dal XIVe. al XVIe. Secolo. Questa tradizione della ceramica, tra cui la ceramica smaltata verde, è continuata ed è ancora visibile nelle strade del villaggio attraverso elementi di cresta, canali in discesa e grondaie, ad esempio.

Una curiosità: i vasai fecero anche piccole corna di terracotta (troina o trumpet) che vennero utilizzate dalla seconda metà del XV secolo all'inizio del XX secolo. Infatti, le campane essando andati a Roma, tra il Giovedì Santo e la Pasqua, i bambini del coro, armati di queste piccole corna usati per chiamare i fedeli alla messa. Poi, la domenica di Pasqua, con una ceremonia sotto la croce della Vergine della Roche Pointue era necessario prendere la '' trumpet '' del suo vicino e romperlo contro la roccia.
Durante la Rivoluzione francese, in seguito al decreto della Convenzione del 25 vendemiaire, invitando i comuni con nomi che ricordavano la memoria della regalità, del feudalesimo o delle superstizioni, a sostituirli con altri nomi: la città cambia allora nome per Fort l'Hérault.
Oggi, Saint Jean de Fos conta 1648 abitanti.
Il y a quelques jours à Saint Jean de Fos, en occitan Sant Joan de Fòrcs, un village situé à la sortie des Gorges de Hérault, là où le massif de la Séranne (massif calcaire) appelé aussi Causses du Larzac, rejoint la plaine de la vallée de l'Hérault. La principale économie du village est la viticulture, l'oléiculture, la production de poterie (11 ateliers et galeries de potiers).L'artisanat y est aussi bien implanté. Chaque année le Marché des Potiers réunis 50 exposants pour le plus grand rassemblement autour de la céramique du département. On trouve les premières mentions du lieu en 804 sous le nom "Litenis". Le village s'est ensuite développé autour de l'église de St-Jean entre 1031 et 1060 à la suite de la construction du Pont du Diable qui constitue un relais important entre Gellone ( abbaye de Saint Guilhem le Désert ) et Aniane. La place a été successivement fortifiée au Moyen Âge et Saint-Jean-de-Fos a connu la renommée grâce à ses potiers du XIVe au XVIe siècle. Cette tradition de poterie, notamment la poterie vernissée verte, s'est perpétuée et est toujours visible dans les rues du village au travers d'éléments de faîtages, de descentes de chenaux et de gouttières par exemple.

Une curiosité : les potiers fabriquaient aussi des petites trompes en terre cuite (troïna ou trumpet) qui furent utilisées de la seconde moitié du XVe siècle jusqu'au début du XXe siècle. En effet, les cloches étant parties à Rome, entre le Jeudi Saint et Pâques, les enfants de chœur, armés de ces petites cornes, trompetaient pour appeler les fidèles à la messe. Le dimanche de Pâques une cérémonie avait lieu sous la croix de la Vierge du Roc Pointu. Il fallait s’emparer de la corne de son voisin et la briser contre le rocher.
Durant la Révolution française, suite au décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitait les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations : la commune change alors de nom pour Fort-l’Hérault
Aujourd'hui, Saint Jean de Fos compte 1 648 habitants.

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LACOSTE

16/7/2018

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A quelques kilomètres de Saint Félix de Lodez,un peu sur les hauteurs, le village de Lacoste. Il est situé juste à la sortie nord de la ville de Clermont-l'Hérault, à l'est du lac du Salagou. Perché à 176 mètres, il domine la vallée de la rivière Lergue, affluent de l'Hérault. C'est un village pittoresque, anciennement fortifié, avec ses vieilles maisons en pierre de lave. Lacoste fait partie du Pays Cœur d'Hérault.

A pochi chilometri da Saint Félix de Lodez, un po 'sulle alture, il villaggio di Lacoste. Si trova proprio all'uscita settentrionale della città di Clermont-l'Hérault, a est del Lago Salagou. Arroccato a 176 metri, domina la valle del fiume Lergue, un affluente dell'Hérault. È un pittoresco villaggio, un tempo fortificato, con vecchie case in pietra lavica. Lacoste fa parte del Pays Cœur d'Hérault.

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Saint Guilhem le Désert

14/7/2018

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Aujourd'hui, on the road again : flânerie photographique dans les rues et ruelles de Saint Guilhem le Désert.

Saint-Guilhem-le-Désert ou Sant Guilhèm dau Desèrt en occitan est une commune située dans le département de l'Hérault en région Occitanie, France. Ses habitants sont appelés les Sauta Ròcs (les Saute Rochers). Le bourg entre dans le classement de l'association « Les plus beaux villages de France »Le toponyme « dau Desèrt» date de l'époque où le lieu était sans végétation à cause des pratiques d'élevage des trop nombreux habitants du bourg. Toute forme de végétation avait un emploi pour l'alimentation du bétail ou le chauffage. Ces pratiques paysannes de subsistance ont duré jusqu'au début du XXe siècle, puis la crise agricole intervint du fait de l'exode rural, laissant la végétation pousser à nouveau alentours. En 804, le comte de Toulouse et duc d'Aquitaine Guillaume (Guilhèm en occitan) fonde une abbaye dans un lieu de la vallée de l'Hérault alors à l'écart de toute présence humaine, un "désert", le vallon de Gellone. L'abbaye est appelée abbaye de Gellone, et, après le décès de Guillaume en 812, abbaye de Guillaume. Après sa canonisation en 1066. elle devient l'abbaye de Saint-Guilhem. La relique d'un morceau de la vraie croix attire la dévotion de nombreux pèlerins et dès le Xe.siècle, le monastère s’impose comme une halte sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. Une agglomération se développe alors autour de l'abbaye.

La Révolution Française sonne le glas des congrégations monastiques et les bâtiments sont vendus comme biens nationaux. Une partie de ses sculptures et de son cloître se trouve aujourd’hui au « Cloisters Museum » de New York.( au bord de l'Hudson, à l'extrémité septentrionale de Manhattan ).Aujourd’hui, le '' village-rue '', construit au Xe.siècle autour de l’abbaye, abrite 270 habitants et constitue un ensemble remarquable.

Oggi, on the road again : passeggiata fotografica nelle vie e nei vicoli di Saint Guilhem le Désert.
Saint-Guilhem-le-Desert o Sant Guilhèm dau Desèrt in occitano è una città situata nel dipartimento di Hérault nella regione dell'Occitania, in Francia. I suoi abitanti sono chiamati Sauta Ròcs ( Salta Roccia ). La città entra nella classifica dell'associazione "I borghi più belli di Francia". Il toponimo " dau Desèrt " risale all'epoca in cui la terra era privata di vegetazione a causa delle pratiche di allevamento di troppi abitanti della città : qualsiasi forma di vegetazione era utilizzata per l'alimentazione del bestiame o per il riscaldamento. Poi la crisi agricola è intervenuta a causa dell'esodo rurale, lasciando crescere la vegetazione intorno. Nell'804, il Conte di Tolosa e Duca di Aquitania Guillaume (Guilhèm in occitano) fonda un'abbazia in un luogo della valle dell'Hérault, lontano da qualsiasi presenza umana, un "deserto", il valle di Gellone. L'abbazia si chiama Abbazia di Gellone e, dopo la morte di Guglielmo nell'812, Abbazia di Guglielmo. Dopo la sua canonizzazione nel 1066, diventa l'abbazia di Saint-Guilhem. La reliquia di un pezzo della vera croce attira la devozione di molti pellegrini e dal Xe. secolo, il monastero si impone come una fermata sulla via di Saint-Jacques-de-Compostelle. Una città si sviluppa quindi intorno all'abbazia.

Poi, la Rivoluzione Francese suona la campana a morto delle congregazioni monastiche e gli edifici sono venduti tra i beni nazionali. Parte delle sue sculture e chiostri sono ora al Cloisters Museum di New York (ai margini dell'Hudson, all'estremità settentrionale di Manhattan).Oggi, le '' village-rue '', costruito nel Xe. secolo. intorno all'abbazia, ospita 270 abitanti ed è un insieme notevole.


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Saint Félix de Lodez en Occitanie

14/7/2018

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L'appellation Saint-Félix-de-Lodez a une origine relativement récente. Elle apparaît en 1325 dans l'inventaire des églises par opposition avec Saint-Félix-de-Léras ou de la montagne. La plus ancienne citation date de 806, dans une donation que fit le comte Guillaume à l'abbaye de Gellone ( à Saint Guilhem le Désert ) : Margarancia, cum eclesia Sancti-Felicis. Le site de Margarancia est situé en pays lodévois ( autour de la ville de Lodève ) par une charte de Louis le Débonnaire relative à l'abbaye d'Aniane en 822. Margarancia était donc le groupe de population établi sur l'emplacement du village actuel de Saint-Félix. Margaussas est un nom dérivé du gaulois Marga qui signifie : l'argile. En effet, le village était situé sur des terrains si humides et si gluants que les ancêtres ont procédé à des drainages. Dès le début du IXe siècle il existait une église Saint-Félix avec des habitations indépendantes plus ou moins fortifiées. Il est donc possible d'utiliser le nom Marganrancia comme premier nom du village.
Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Lodès et les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée '' société populaire des sans-culottes '' (nom utilisé à partir d'octobre 1793 )


La denominazione Saint-Félix-de-Lodez ha origini relativamente recenti. Appare nel 1325 nell'inventario delle chiese per distinguersi da Saint-Félix-de-Léras o della montagna. La prima citazione risale al 806, in una donazione fatta dal conte Guillaume all'abbazia di Gellone ( Saint Guilhem le Désert ) : Margarancia, cum eclesia Sancti-Felicis. Il sito di Margarancia si trova nel paese Lodévois ( intorno alla città di Lodève ) da un contratto di Louis le Débonnaire relativo all'Abbazia di Aniane nell'822. Margarancia era quindi il gruppo di popolazione stabilito sul sito dell'attuale villaggio di Saint Félix de Lodez. Margaussas è un nome derivato dalla gallica Marga che significa : argilla. In effetti, il villaggio era situato su terreni così umidi e appiccicosi che gli antenati dovevano procedere ai drenaggi. Cosi, dall'inizio del IX secolo esisteva una chiesa di Saint-Félix con case indipendenti più o meno fortificate. È quindi possibile utilizzare il nome Marganrancia come primo nome del villaggio.
Durante la Rivoluzione francese, il comune porta temporaneamente il nome di Lodès e i cittadini della comunità si incontrano all'interno della società rivoluzionaria, chiamata " società popolare di sans-culottes " (nome usato dall'ottobre 1793 ).

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    Auteur : jean-louis Murcia

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